vendredi 26 décembre 2008

ma vie en 2008

J'ai jamais vraiment pris le temps de faire un inventaire de l'année que je viens de passer mais je crois que celle-ci fut tellement bouleversante sous plusieurs aspects que cela m'ouvrirait peut-être les yeux un peu. Une belle prise de concience...


J'ai accompli en 2008 deux de mes rêves. Je voulais partir en appart et j'ai réussit à le faire. Malgré mon trouble d'anxiété, celui qui me fait parfois reculer ou passer à côté de belles occasions, j'ai fait mes boîtes et je me suis offert une vie d'adulte sur un plateau d'argent. (ou plutôt dans un trois et demie sur De Normandie!).


Mais, malgré tout ce que j'ai pu faire cette année, l'événement donc je vais me souvenir toute ma vie: J'ai réalisé mon plus grand rêve: celui d'aller travailler deux mois en Californie. C'est comme si on avait entendu mes prières. En 2007 je m'étais dit que j'économiserais pour faire ce voyage l'été de 2008 et voilà qu'on m'offre un emploi de rêve en californie en plein dans les dates que j'avais prévue. Merci à vous qui etes en haut!


Ce fut mémorable! j'ai rencontré des gens fantastiques que j'ai déjà hâte d'aller visiter en france.


2008 m'a apportée un cadeau merveilleux: Julie. ma bff. Je travail au hmv depuis déjà 2 ans et j'ai accumulé les critiques sur ce que j'aime écouter, lire, regarder, les gars, les histoires d'amours... en essayant de défendre mon château toute seule. Voilà qu'au printemps, Julie vient travailler au hmv et je découvre une fille fantastique qui partage mes goûts et qui à mon plus grand bonheur devient ma meilleure amie.


Janvier: un mois ordinaire dans ce que je croyais être une année ordinaire.

Février: premier contrat de guide touristique; j'ai jamais autant haït la neige que cette semaine-là.

Mars: rien de spécial en mars...

Avril: 10 jours merveilleux à New York. le bilan: au moins 200 piasses d'achats, des promenables mémorables dans washington square Park, les strawberry fields à Central Park... et un ou deux francais un peu trop chiants. sans oublier une course folle dans Time Square avec 50 jeunes.

Mai: je commence à me préparer pour la calif mais l'attente est longue.

Juin: je reçois un groupe de petits écoliers français pour visiter Montréal. On est allé à la cabane à sucre sur l'ile d'Orléan... la meilleure cabane à sucre ever! L'ambiance était malade même en juin. on jouait de la cuilliere et on dansait des rigodons.

Juillet: je manque le mariage de mon frère (eh oui...mais avec son consentement) et je pars pour la belle côte ouest des États-unis.

Aout: je suis brulée pas possible mais je coninue à animer mes petit francais sur les plages et dans le désert de la calif. je réussit même à m'engeuler avec un chauffeur d'autobus mesogyne de san diego.

Septembre... ça commence à dégringoler! Je reviens de calif avec le blues du voyageur, Je ne me trouve pas d'emploi malgré les efforts. Je retourne la tête basse au hmv parce que je m'étais jurée de ne pa y reourner.

Octobre: toujours au hmv, je commence à vivre un groose période de remise en question sur mes reves et mes ambitions... si vous m'avez rencontré à cette période je n'ai pas du vous faire bonne impression...désolée.

Novembre: les comptes commences à être plus serrés, je râcle le fond pour payer le loyer.

Décembre: le pire mois de marde ever. je n'ai plus d'argent, j'ai des dettes pas possible, je passe des tonnes d'entrevues ou je ne suis jamais choisit, mes patrons me trouve beaucoup moins performante, je suis prise dans un sable mouvant monétaire, je ne peux pas donner de cadeaux de noel cette année, ma voiture me lâchée sur l'autoroute avec un bill de 1000 piasses de réparations...


alors voilà, que me réserve 2009? de l'amour et un emploi dans mon domaine ou à la limite plus payant.


pleins de bonnes choses pour ma famille et mes amis.


en 2008 j'ai: aimé, osé, pardonné, argumenté, confronté, perdu, gagné, réalisé, trop demandé, regretté, eu des remords, mal investi, manqué des occasions, eu du fun en masse, dansé, chanté...fait des trucs que je ne pensait pas avoir le courage de faire...


et vous?

lundi 22 décembre 2008

quand j'étais petite...

J'ai comme la forte impression que je ne suis pas la seule à me rappeller mes bon souvenirs du temps des fêtes. Ils ne sont plus les mêmes que maintenant. Beaucoup de choses ont changées.

quand j'étais petite, sans le savoir, j'avais des genres de traditions. Le 24 décembre, je mangeais un petit quelque chose pour souper, question de pateinter avant le buffet de noel.

ensuite, ou plus tôt pendant la journée, on synchronisait la famille pour que tout le monde se lave sans qu'on manque d'eau chaude (on est une grosse famille). après ça j'écoutais ciné-cadeaux.

Ciné-cadeaux fait partie de mon top 5 de mes meilleurs souvenirs de Noel. Charlie Brown, Asterix et tout les autres...vous me manquez!

ensuite, ma maman m'envoyait me coucher pour que je sois en forme pour le réveillon. Elle me réveillait vers 9 heures, alors qu'elle avait eu le temps de se préparer, de se mettre toute belle avec ses cheveux et tout... et je devais enfiler moi aussi mon beau kit de noel expressément acheté pour l'occasion.

Ensuite on partait. papa emmenait des couvertures dans l'auto pour nous réchauffer comme il faisait toujours super frette dehors et que c'était quasiment la nuit. On écoutait les classiques de Noel de la radio et on se dirigeait chez l'une de mes tantes.

on sortait le giga buffet vers 1 heure du matin après tout les joyeux noel... et ça durait vraiment tard dans la nuit. Quand j'étais petite, je ne tenais pas toute la soirée, j'allais me coucher sur la pile de manteau de tout le monde sur le lit de mes tante. Je crois que tout le monde a une tante qui portait alors un manteau de fourure... Je me souviens des années être revenue vers 6h30 le matin et le soleil se levait. Nous on allait se coucher.

On se relevait ver 11heures pour manger des fonds de buffets, des bonnes sandwichs aux oeufs de la veille et des carrés rice krispies... en jouant avec nos nouveaux jouets.

On se préparait ensuite tranquillement-pas-vite pour aller au souper de noel dans l'autre famille, celle de mon pere.

On faisait le même roulement pour le jours de l'an.

J'adorais ça. Je suis super nostalgique de mes noels d'antan.

Par la suite, les familles on veillit, les matantes ne voulaient plus recevoir, les couple sans enfants s'en allait en condo donc trop petit pour recevoir la famille, les tantes on des enfants qui on des enfants eux aussi faque ils se sont coupé pour partir leur propres traditions de noel...

Mes parents ses sont séparé; on s'est mis à travaillé jusqu'à 5h3o le 24 pis à pas se coucher trop tard à cause qu'on rentrait aussi au boxing day. le buffet est passé de 2h du matin à 8h30 la veille. à 1h30 la nuit on était déjà couché...

bref, tout à changé trop vite. Mon coeur d'enfant balance encore entre mes beau souvenirs qui ne sont que des souvenirs et la réalité à laquelle on doit tous s'adapter. On est encore une jeune famille alors ça fait pas un giga party maintenant mais on s'amuse encore ensemble. on se ranconte nos pire histoires de clients cons dans nos commerces respectifs... on se donne nos cadeaux... de moins en moins gros faute de budget (inexistants dans mon cas et celui de mon frère)...

En tout cas, j'ai quand même hâte à Noel mais je suis triste ce soir de constater que je n'ai pas télé-québec dans mon appart et que Asterix me manque...

Si vou voulez me faire plaisir, parlez-moi de ciné-cadeaux et vous verrez le sourire que j'avais quand j'avais 6 ans et aucuns soucis que celui d'attendre le Père Noel...

samedi 6 décembre 2008

Lettre au Père Noel

Chère Père Noel,
J'espère que tout vas bien dans votre rush de fin d'année. Pour vous, ça doit être quelque chose de grandiose à chaque année. Je ne vous ai pas écrit depuis bien longtemps. En fait, depuis que mon grand frère m'a dit que vous n'existiez pas il y a de cela plusieurs années. Il peut bien penser ce qu'il veut, moi, à chaque année j'ai une pensée pour vous.
Est-ce qu'il vous arrive d'être malheureux parfois? vous savez, votre tâche est si énorme et la pression si grande. Comment faites-vous pour ne pa craquer?
Cette année j'ai besoins de vous. Je vous appel à l'aide. Noel est la saison des miracles et il semble bien que vous faites partis de ceux qui peuvent en faire. Je sais, ça peut parraître égoiste de vous écrire maintenant alors que j'ai besoin de vous et de ne pas l'avoir fait depuis au moins 17 ans mais en ce moment, je ne sais plus vers qui me tourner.
Vous me connaissez, j'ai toujours été sur la liste des enfants sages à chaque année. J'ai toujours eu l'espris de Noel dans mon coeur et j'ai toujours été bien généreuse avec ma famille surtout dans le temps des fêtes malgré mon petit salaire. Ma grande volonté y a toujours été.
Je suis endettée Père Noel. Mon salaire ne me permet pas de tout rembourser. Je pourrai à peine trouver de quoi offrir des cadeaux à ma famille et encore là...
Aujourd'hui j'ai du faire le tri dans mon panier d'épicerie parce que je ne pouvais pas m'offrir tout ce qu'il y avait dedans. Mes parents me rappellent sans arrêt qu'ils peuvent me prêter de l'argent mais à mes yeux, ça ne ferait que plus de dettes.
Je suis une fille habituellement toujours énergique et passionnée. Je rêve constament et j'ai toujours de nouveaux projets. Cette partie de moi est encore là mais elle ne sait plus ou se mettre. Le projets je l'ai ai mais je suis découragée par l'idée du manque d'argent.
Si l'argent est devenue une valeur, s'en est une que je déteste.
Père Noel, j'ai fait beaucoup d'effort cette année pour faire moi-même des miracles. J'ai règlé des problèmes que je contournaient depuis des années, j'ai affronté mes craintes, je suis parties seule en voyage et je suis partie en appartement. J'ai accompli de grandes choses cette année. Je suis fière de moi. Ça me rend heureuse quand j'y pense.
Le mois de Décembre me frappe quand même à grand coup de Pelle dans le visage. Mais, comme d'hab, ma grande force va m'aider et les gens que j'aime ont toujours là aussi.
Je vous demande un miracle. Je sais que je demande plus qu'une poupée ou qu'un camions mais je crois en vous et en votre force pour faire de moi un miracle de Noel.
Merci de ne pas m'oublier sur votre liste. J'ai changé d'adresse cette année. Ne vous trompez pas.
P.S. Je vous laisse ma liste irréaliste de souhaits.
Parce qu'avec un coeur d'enfant, c'est tellement plus facile que d'avoir celui d'un adulte, je vous souhaite à vous aussi un Joyeux Noel.
Ma liste
  • La santé pour ma famille (et moi au pasage)
  • Le bonheur pour mes amis
  • De l'amour dans mon coeur (et dans ma vie)
  • Que ma voiture (Orlando) continue à si bien fonctionner
  • Un emploi que j'aime...et payant
  • de l'argent
  • Que mon proprio me laisse avoir un chat
  • arrêter d'être dans une aussi grande période de questionnement sur mon avenir
voilà... et peut-être un ou deux DVD, livres et cd...(mon petit côté enfant)
Merci mille fois

samedi 15 novembre 2008

moi, moi et moi

Salut à tous ou à toi. Je sais pas trop combien de personnes peuvent bien lire mon blog.

La semaine dernière j'ai pris une grande décision basée sur une grande constatation. Je me suis rendu compte que je n'aimais pas la fille que j'étais en train de devenir depuis que je suis de retour de la Californie. J'ai eu l'impression d'être devenue triste, négative, chialeuse et peureuse; d'avoir peur d'affronter qui je suis , ce que j'aime et ce que j'ai le goût de faire. On aurait dit que je n'avais même pas le courage de faire bouger les choses et que comme le dit si bien une chanson que j'adore: i was comforting in my pain... ou quelque chose dans le genre.

Alors, un samedi soir, j'ai vraiment touché le fond du baril. Le barils du négatif c'est vraiment moche. J'ai alors décidé d'être la nouvelle moi... qui se trouve en fait à être la fille que j'étais mais qui était partie depuis un petit bout de temps...depuis peut-être plus d'un an même.

Mais je suis là. Super optimiste, moins peureuse, je fonce, j'ose (au grand désespoir de certains). oui, il se peut que je vous fasse peur au passage et oui, il est possible que vous ne soyez pas épargnés. Je fais du ménage dans ma vie. Je ne perd plus mon temps à m'attarder à l'inutile.

Je me porte beaucoup mieux comme ça et c'est bien. Il faut croire que j'ai dû attendre d'en arrivé à une soirée ou les événements m'ont crevés le coeur pour que je comprenne.

Depuis deux semaines maintenant j'ai de nouvelles ambitions et un nouveau regard sur la vie.

À mon travail c'est par contre un défi de taille. Je dois affronter des caractères bizarres ou certains qui ne vont pas avec le miens mais moi je vais bien et maintenant je me défends, je ne m'en laisse plus imposer... sa fait parfois des frictions ou sa rends les gens mal à l'aise mais au moins, je ne me ferai plus imposer des choses et je ne vivrai pas dans le regret.

Mais c'est encore drôle... mes patrons on mis m'on nouvel optimisme à l'épreuve et ça m'a fait pleurer un coup mais ils ne se sont pas rendu compte qu'en fait, ils m'ont donné le coup de peid au derière qu'il manquait à la nouvelle moi pour se réveiller aussi du côté professionnel. ils m'on salement blessé mais grâce à eux j'ai recommencé ma recherche d'emploi et je vais, je l'espère pouvoir quitter cet emploi non seulement pour une autre job mais pour une carrière.

mardi 28 octobre 2008

et toi tu crois en quoi?

Lorsqu'on entre au secondaire les professeurs croient nous faire un beau cadeau en nous affirmant que la période ou l'on se pose des questions sur qui suis-je, que fais-je et bla bla bla va commencer et qu'on ne doit pas s'inquiéter de tout ces tremblements intérieurs qui nous boulverserons.

C'est faux! Cette période on s'en balance complètement quand on a 14 ans et on veut rien savoir quand on en a 16. On veut sortir voir nos amis et boire de la bière. Au bout du compte on croit donc qu'on s'en est bien tiré avec cette période mais nous voilà; tiré dans le pied par cette réelle periode de questionnements qui arrive (finalement!) au début de la vingtaine.

On a soudainement des incertitudes sur le travail qu'on veut faire; les études à faire, les démarches à faire, les choix à faire (les bons comme les mauvais) et tout cela en continuant de vivre et de faire notre chemin...

J'ai peut-être encore beaucoup d'incertitudes dans la vie mais un inventaire des choses en lesquelles je crois en ce moment m'a fait du bien la nuit dernière et je vais le partager avec vous.

Je crois en:

Je crois en moi;
Je crois en la bonté des gens;
je crois qu'avec de l'amour tout est possible;
je crois en l'amour;
je crois que je vais aimer à nouveau un jour;
je crois que je m'intéresse à quelqu'un qui ne s'intéresse pas à moi;
Je crois que j'ai les meilleurs amis que je pourrais avoir sur cette terre;
je crois en leur franchise, leur loyauté et leur amitié;
je crois être une bonne amie et être capable de leur rendre la pareille.

Je crois que les gens ne voit pas la vrai moi;
je crois que je ne laisse pas tout le temps voir qui je suis vraiment;
je crois que c'est un reflexe naturel de protection;
je crois que même en le disant, je ne sais pas trop qui est la vrai moi;
je crois qu'il est correct de chercher des réponses à mon âge mais qu'il serait bien de les trouver bientôt;
je crois qu'en général tout le monde porte des jugements sur les autres;
je crois que c'est dommage mais qu'en même temps ça nous permet de penser que dans une telle situation on agirais différement.
je crois en toi;

Je crois qu'il est vraiment important de dire aux gens qu'on aime... qu'on les aimes;
maman, tu est la personne la plus précieuse à mes yieux
Papa, Julianne, joel et jérémie je vous adore;
Amélie, Caro et Julie: vous êtes les meilleurs amies du monde;
Charles: je sais pas pourquoi on est amis, on a rien en commun mais j'apprécie pourtant ton amiié;
Péo, je sais que tu vas lire ça pis que tu vas te demander pourquoi ton nom est là... (eh oui!):
sache qu'on se connait pas beaucoup encore mais que je te trouve psychologiquement super challangeant (c'est une qualité) et que ça me fait plaisr de te connaître chaque fois d'avantage.
Nico, la vie nous fou parfois dans des sables mouvants mais regarde autour, y'a plein de gens pour nous tendre une perche (sinon, étire ton bras et prends toi-même une branche dans un arbre).

Je crois que je vous aime tous énormément;
Je crois en Dieu
je crois que Dieu croit en moi (j'aimerais bien qu'il me le dise plus fort parfois)

Je crois que je devrait faire plus d'exercice et de sport
je crois que je devrait prendre ma santé en main
Je crois que je devrais me sortir la tête du sable et affronté mon grand questionnement sur mon avenir professionnel;

Je crois que ça peut attendre demain matin.

dites-moi en quoi vous croyez.

Jessika

vendredi 17 octobre 2008

la vie parle d'elle-même

Moi je fais partie de ceux qui croient que la vie nous envoi des signes. J'ai lu dernièrement le blog de l'ami d'un ami qui fesait justement allusion au fait que le destin nous place sur un beau chemin pour nous emmener à des intersections. Après ça ce complique. On doit faire des choix. On doit choisir d'aller à gauche ou à droite mais il faut choisir.
Moi, mon problème c'est qu'en fait j'ai parfois l'impression qu'il n'y a pas d'intersection mais que je souhaite ardemment en voir une alors je suis littéralement en train de creuser et d'asphalter tout croche la voie que j'aimerais bien voir apparaître.
mais bon... construire une voie qui n'existe pas c'est soit de ne pas être réaliste ou très positif et d'être de ceux qui prennent leur vie en main.
mais qu'on soit réaliste ou non, la vie nous parle. elle nous envoi des signes. Des fois, j'aimerais voir des signes là ou il n'y en a pas. c'est dommage mais quand on constate qu'on essaye plus de les voir que de les laisser apparaître... c'est un peu pathétique. Mais je suis comme ça moi, je suis une rêveuse. J'espère.
J'espère que le gars qui m'intéresse m'envoi des signes. parfois les signes ne sont pas ceux que je veux voir et ça me fait chier et parfois les sgnes sont justes absents... ou sont-ils?
mais aussi, il arrive que la vie m'envoi des surprises et que je constate que les signes sont là et sont cool. la vie est cool...:)
en tout cas, on réfléchi là dessus et sachez que si vous croye que je fume du crac, ce n'est pas le cas, j'ai juste beaucoup d'imagination et d'introspection en cours.
Je fais du ménage dans mon intérieur. La prochaine fois je vous ferai part de mon objectif à ne plus être la fille que tout le monde croit que je suis mais à vraiment être moi-mêne. dans le genre qu'on m'attribue des étiquettes et qu'à force de les entendre, on fini par entrer dans le moule... plus maintenant, je vais redevenir la fille que je suis. regardez-moi bien aller...

vendredi 10 octobre 2008

un rayon de soleil

En ce moment je file pas trop. quoique ça m'a réconforté de savoir que certains de mes amis lisent mon joli petit blog. Aujourd'hui il est pas super joyeux.

Il arrive des matins ou on se lève, on se regarde dans le miroir et on a l'impression que ce sera une journée spéciale; que tout peut arriver. D'autres matins, c'est un bad hair day. Moi, les bad hair days je l'ai ai tout les lendemains ou je me lave les cheveux parce qu'ils en profitent pour aller dans tout les sens. Bref, je commence à m'égarer. Ce matin était plus une journée ou je n'avais pas de raison d'être de mauvaise humeur ou triste mais qu'au fond, la motivation pour aller travailler m'a pas beaucoup poussée dans le dos lorsque j'ai franchi les grosses portes en vitre du centre commercial.

C'est pas la paresse ou que je déteste la job. C'est les hormones peut-être? je le sais pas. Est-ce que y'a des journées ou on a le droit d'être triste. juste comme ça, pour rien. C'est un peu chiant quand ça arrive sur les journées de job mais ce serait plus plate de gacher des journées de congé avec de la mauvaise humeur.

Y'a tu juste moi sur terre qui trouve qu'on travaille trop. Pourquoi on travail 5 jours et on a que 2 journées de congés? c'est qui qui rit de nous autres. franchement! pis en plus, pourquoi les maudits centres d'achats sont ouvert les soirs de semaines et le dimanche? Cé tu une jo-ke? on peut pas retourner au temps ou les gens avaient des valeurs morales et un sens éthique? Même si on va pas à l'église, se serais-tu trop demander que de fermer boutique le dimanche?

Les familles seraient réunies, les jeunes étudiants pouraient en profiter pour aller voir leur parents en régions. Ce serait un bon temps pour louer des films, faire le ménager, voir nos amis, enlever le restant de vermis à ongle qu'on depuis un mois sur les ongles et effacer les petits griboullis qu'on s'est fait sur les bras pour passer le temps, se remonter le moral, oublier qu'on travail le lendemain... bref, une journée de plus dans le semaine pour être heureux ensemble.

Si tout le monde avait congé le dimanche: les gens seraient tous plus heureux.

J'ai rien à rajouter. Désolé pour ce triste intermède, je sais que vous lisez pour vous divertir. mais si vous préferez rire, allez lire le blog de Peo... moi Peo, il me fait rire. il apporte son soleil au travail et il en distribue une partie à tout le monde. Sans même s'en rendre compte. Avec ses blagues et ses jeux de mots (parfois doueux...déolé peo) il me fait rire et ça m'apporte du soleil aussi. Je lui ai dit aujourd'hui que c'était réconfortant mais je suis pas certaine qu'il m'ait prise au sérieux alors peut-être que s'il le lit...

Merci pour le rayon de soleil.

À plus

jeudi 25 septembre 2008

ah! l'amour... ouin...

Ben oui, moi aussi je me questionne sur l'amour. Probablement que les gens qui me connaissent vous diraient que je me questionne beaucoup sur ce sujet.... ça et Simple Plan, mais c'est une autre histoire.

Aujourd'hui, mon regard se porte sur ce en quoi je suis nul. Les premiers pas. Les fameux fichus premiers pas. Je ne voudrais pas retourner à l'époque médiévale ni à celle ou mon père m'aurait vendu contre dix chèvres mais je dois dire que j'aurais vraiment appréciée être à l'époque des gentlemens, ceux qui FONT les premiers pas.

Attention, je ne rêve PAS d'un prince charmant. NON! Je souhaite un gars tous ce qu'il y a de plus simple. Un qui existe vraiment mais il doit me montrer sont intérêt parce que moi je serai trop genée pour lui montrer le miens.

J'en parlais avec les filles justement aujourd'hui au travail (on travail vraiment fort au travail... parfois plus sur notre vie personnelle que sur la job en tant que tel... mais bon). Le problème c'est que la relation gars-fille, fréquentation et puis couple et puis les je t'aime et tout le tralala, on a bien saisi le tout.

Ce qu'on ne comprend pas (et quand je dis on c'est surtout JE), c'est le début. Ça commence comment? est-ce que la fameuse phrase: Voudrais-tu venir au cinéma ça marche encore? et puis offrir un verre dans un bar?

COMMENT ÇA MARCHE? On dirait qu'y'a personne qui peut me répondre.

Je vais continuer à méditer là-dessus... ammenez-moi vos conseils.

Jessika

je ne dors pas

Cette nuit je ne dors pas. Ce n'est pas par choix... je VEUX dormir mais je reste constament éveillée. Je sais pas pourquoi.

  • En fait, j'ai la chanson des Pussycat Dolls dans la tête. On la fait jouer tellement souvent au magasin que j'ai parfois l'impression de faire partie d'une sorte de secte ou on nous divulgue la parole de la grande modernité et qu'il faut se brainwasher avec ça.
  • En plus, je décors ma salle de bain dans ma tête parce qu'elle est encore toute blanche et je me demande ce que je vais faire avec... une vrai fille.
  • Et puis en guise de cerise sur le sunday (moi j'aime pas les cerises alors on va dire une fraise!)... je disais donc, en guise de fraise sur le sunday, j'essai mentalement mes vêtements pour savoir ce que je vais mettre demain. C'est pas comme si ça allait vraiment paraître puisque je vais mettre le même petit polo que tout le monde au travail. mais bon, en tant que fille... je met un peu plus de joie dans ma journée.

Alors voilà, je me retrouve à deux heures du mat à taper sur mon blog alors que je devrait dormir. Et en plus, en lisant ceci je trouve que le contenu n'est pas ce qu'il y a de totallement intéressant mais encore plus étrange: Pourquoi lisez-vous ce message?

C'est pas que je ne veux pas vous savoir sur mon blogue c'est juste que déjà après la première ligne vous auriez pu vous dire que décidément, à deux heures du matin je n'aurais pas écrit quelque chose de super constructif alors plutôt aller sur youtube voir un truc tout aussi perte de temps et revenir demain pour voir ce que j'aurai vraiment écris de beau.

Mais vous êtes encore là? cool. alors continuons dans l'absurdité puisqu'il me semble clair qu'à cette heure c'est ce thème qui ce met en place de lui-même tranquillement pas vite...

De quelle couleur devrais-je mettre mes ongles? J'hésite entre deux: Noir ou Jaune. Le noir ça fait un peu EMO et le jaune ben c'est cool mais ça va pas avec tout...

et dire que pendant que j'écris c'est ligne, quelqu'un dans le monde se pose peut-être la même question que moi ou sinon il se demande comment il va faire pour faire passer une loi super importante à l'assemblée nationale de son pays demain matin...

Pour toi, à l'autre bout du pays, j'espère que tu ne lis pas ces lignes parce que tu vas être fatigué demain matin et même pas pour une bonne raison. À moins que ce petit sujet tout léger de deux heures et dix du matin te réconforte un peu. Alors dans ce cas, ça fat de cette chronique une chronnique plus importante qu'elle ne l'était au début.

Mais encore là, pour le constater il faut s'être rendu jusqu'ici pour le savoir... mmm... un peu un cercle vicieux. La Poule ou l'oeuf?

Je vais tenter de répondre à cette question... peut-être que ça va m'aider à m'endormir.

Bonne nuit.

mardi 23 septembre 2008

je comprends pas

Je comprends juste pas pourquoi ça dérange les gens qui m'entoure que j'écoute des films d'amours ou de la musique de beaux guitaristes. Ça vous avance en quoi de me faie la guerre sur ça?

Ce que je veux dire c'est que je ne vous demande pas d'aimer ça, encore moins de regarder ces films avec moi. Alors c'est quoi le problème? Ça fait pas de moi une conne ou une personne sans culture.

Elle sont faites mes études, je me suis éduquée. Maintenant, j'occupe un travail qui me permet de me cultiver sur le point de vue artistique que ce soit musique ou films. J'apprends constament et en plus en faisant du service à la clientèle... j'apprends sur ce que les autres aiment. Quoi de plus merveilleux pour agrandir d'avantage la culture.

Alors moi, quand j'arrive checz moi; que j'ai fait la route de retour, préparé le souper et mis une machine à laver, est-ce que je veux continuer à m'éduquer en écoutant la Première Chaîne de Radio-Canada? non. J'en ai rien à foutre...

Faites le si vous voulez. Moi, je veux me divertir. Je veux oublier que je viens de passer 8 heures à faire une job qui est pas si mal mais qi est vraiment loins de ce que je veux faire dans la vie. Je veux oublier et me divertir. C'est super simple.

Attention: Je ne dis pas ici que je veux arrêter de penser et enregistrer mentalement tous ce qui passe sous mes yeux à la télévision. Non. Je vous dis juste que je veux faire une pose pour mon cerveau. Je veux, l'espace d'un instant ne pas réfléchir. Penser ok. Mais ne pas réfléchir.

C'est simple non? tout le monde a besoin de se divertir et ne venez pas me dire que de lire la page Politique Internationnale du New York Times ça vous diverti parce que non... ça vous fait réfléchir...

d'un autre côté, si ce que vous aimez vraiment c'est de planer en pensant à la dure réalité de la Bosnie...bof.....

nahhhhhhhhh... c'est trop creepy!

Suivez mon conseil: Sortez de chez vous, allez au vidéo, à l'opéra, au musée, dans un bar...mais faite quelque chose pour vous DIVERTIR. Oubliez le travail, vos placements monétaire, la cote boursière, le lavage, l'école... VIVEZ!

le temps c'est chiant

Le temps c'est vraiment chiant.

Je n'aime pas le Temps, celui avec un grand T. Je n'en ferai pas un poème mais bon... pour ce que ça donne, je trouve qu'il est difficile à comprendre.

Quand on souhaite que le temps passe vite comme lors d'une journée terne et morne de travail, il se fait très lasse et paresseux. Lorsqu'on passe un super moment, il décide qu'il est aussi motivé que nous et s'acitve de toutes ses forces entraînant avec lui les minutes et les secondes. Nous voilà donc, seul avec ce fichu temps qui a décidé que nous avions intérêt a avoir gravé dans notre mémoirs de beaux souvenirs de tout ça parce le temps s'est écoulé.

Le temps me fait vieillir. Il me fait penser que je dois maintenant me poser des questions d'adulte parce que c'est là que j'en suis rendu. Il me fait signe aussi, par une pression sociale très peu discrète qu'il est parfois déplacé d'aimer ce que j'aime et d'écouter ce que j'aime entendre.

Le temps me presse à trouver de l'argent pour payer mon loyer. Il me dicte à tous les jours que je dois me lever... et aller me coucher parce qu'il se fait tard.

Il se fait long et lourdement présent quand je suis au travail mais passe si vite quand je suis en compagnie de bons amis ou devant un bon film.

On dit souvent que l'argent mène le monde mais je crois que c'est faux. Je crois que c'est le temps qui mène le bal... en fait, non! Je crois que le temps, lui aussi a un patron au dessus de sa tête. Tout le monde le connais mais ce ne sont que les plus coriaces qui le côtoie: Le bonheur.

eh oui! le bonheur mène le monde. On veut tous être heureux. On aspire tous au bonheur. En ces temps de modernité, on crois pouvoir l'acheter mais le bonheur est probablement le président de compagnie le moins attaché à l'argent.

Pourtant, on y crois encore. Mais le temps, le vice-président de la compagnie, croit qu'il peut plus facilement vendre le bonheur s'il nous convient qu'on profite mieux de lui par des moyens monétaires...

bon je n'embarquerai pas dans la branche de la surconsommation parce qu'à cette heure je n'ai pas la force et les mots pour vous en faire part.

en tout cas, réfléchissez à ceci.

On ne peut acheter le bonheur, on ne peut acheter le temps alors finalement... on travail pour acheter quoi? de l'amour, du respect, du temps de qualité?...

on en reparlera.